ou
les caprices enfantins d'adultes immatures
Souvenez-vous
de l'enfance bête et des répliques du style : « mon père
en a un plus gros que le tien » ou « je te tiens
fâché*
jusqu'à la Noël »... Si on rit aisément aujourd'hui de la
bêtise que nous avons sûrement partagée, c'est que, depuis lors,
nous avons mûri.
À regarder la situation de l'Aïkido fédéral
français, il semble que ce ne soit pas le cas des instances
dirigeantes.